Tout d'abord cette évidence :
Ceux qui aiment le gazon sont soit des gens qui ne l'entretiennent pas eux-mêmes, soit de sinistes pervers !
Il est 19h30 et je viens de terminer la tonte du mien.
Je ne m'étais pas livré à cet exercice depuis un bon mois pour de météorologiques raisons évidentes et l'herbe (parce qu'il n'y a pas que du gazon), profitant des alternances pluies/soleil qui ont parsemé le mois d'août, en a profité pour croître et embellir. De hautes tiges bien grasses avec de belles feuilles de pissenlits, des herbes diverses et variées dont j'ignore l'origine ont transformé ce jardin si mignon en une forêt vierge. Enfin vierge, pas pour tout le monde puisque les chats du voisinage ont l'air d'avoir décidé de choisir mes 100 m2 restants d'herbe pour latrines communes.
Par respect pour Diane qui les adore et par égard pour mes gentils voisins propriétaires d'un de ces félidés (il s'appelle mallow; pourquoi ? ben parce que c'est le chat mallow, voyons !), j'ai décidé que, quoi qu'ils fassent, je ne me livrerai jamais à des gestes de vengeance qui pourtant pourraient très bien passer pour de l'autodéfense. Je subis donc stoïquement les exactions de cessalopards charmantes bestioles, moi qui ait réussi à me débarrasser progressivement des cochons d'inde, poissons, oiseaux divers et variés qui tenaient compagnie à mes enfants; je n'ai gardé que les acariens histoire de justifier ma consommation annuelle de ventoline.
Donc j'ai tondu cette saloperie de jardin et j'ai été d'ailleurs surpris de ne pas découvrir, en fauchant ces hautes herbes, une peuplade d'indigènes qui, attiré par la luxuriance de la végétation auraient élu domicile au coin de ma baraque du jardin ou sous la balancelle; Pour peu qu'ils aient été mangeurs de chats, ça m'aurait bien arrangé. Eh bien non, les chats ont pu venir chier tranquillement sans être dérangés.
C'est donc en sueur, couvert de petits brins d'herbe et de boutons (oui, je développe également une allergie aux graminés, personne n'est parfait et surtout pas moi, merci papa, merci maman), et les mollets tachetés de merde de chat, que j'ai mis fin à cet exercice.
Et c'est pour cette raison que, douche salvatrice prise, je me suis précipité sur mon clavier pour clamer haut et fort :
ceux qui aiment le gazon sont soit des gens qui ne l'entretiennent pas eux-mêmes, soit de sinistres pervers !
Ceux qui aiment le gazon sont soit des gens qui ne l'entretiennent pas eux-mêmes, soit de sinistes pervers !
Il est 19h30 et je viens de terminer la tonte du mien.
Je ne m'étais pas livré à cet exercice depuis un bon mois pour de météorologiques raisons évidentes et l'herbe (parce qu'il n'y a pas que du gazon), profitant des alternances pluies/soleil qui ont parsemé le mois d'août, en a profité pour croître et embellir. De hautes tiges bien grasses avec de belles feuilles de pissenlits, des herbes diverses et variées dont j'ignore l'origine ont transformé ce jardin si mignon en une forêt vierge. Enfin vierge, pas pour tout le monde puisque les chats du voisinage ont l'air d'avoir décidé de choisir mes 100 m2 restants d'herbe pour latrines communes.
Par respect pour Diane qui les adore et par égard pour mes gentils voisins propriétaires d'un de ces félidés (il s'appelle mallow; pourquoi ? ben parce que c'est le chat mallow, voyons !), j'ai décidé que, quoi qu'ils fassent, je ne me livrerai jamais à des gestes de vengeance qui pourtant pourraient très bien passer pour de l'autodéfense. Je subis donc stoïquement les exactions de ces
Donc j'ai tondu cette saloperie de jardin et j'ai été d'ailleurs surpris de ne pas découvrir, en fauchant ces hautes herbes, une peuplade d'indigènes qui, attiré par la luxuriance de la végétation auraient élu domicile au coin de ma baraque du jardin ou sous la balancelle; Pour peu qu'ils aient été mangeurs de chats, ça m'aurait bien arrangé. Eh bien non, les chats ont pu venir chier tranquillement sans être dérangés.
C'est donc en sueur, couvert de petits brins d'herbe et de boutons (oui, je développe également une allergie aux graminés, personne n'est parfait et surtout pas moi, merci papa, merci maman), et les mollets tachetés de merde de chat, que j'ai mis fin à cet exercice.
Et c'est pour cette raison que, douche salvatrice prise, je me suis précipité sur mon clavier pour clamer haut et fort :
ceux qui aiment le gazon sont soit des gens qui ne l'entretiennent pas eux-mêmes, soit de sinistres pervers !
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